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Date: Thu, 11 Jul 2002 04:37:30 GMT
From: Vanille Fade
Subject: BLAGUES-L: Entretiens d'embauche


FROM: Jean-Louis Berra
DATE:   Fri, 31 Aug 2001 09:19:53 +0200 


Un jour ou l'autre, tout le monde a dû subir un entretien d'embauche.
Dans ces cas-là, on pense surtout à ce qu'il NE FAUT PAS FAIRE..
  Ne pas se ronger ses ongles, ne pas gigoter sur sa chaise, ne 
pas interrompre, ne pas roter ou pire, etc.  Évidemment, toutes ces 
attitudes sont censées nous disqualifier automatiquement.  Eh bien,
on est loin du compte.  Voici le bêtisier et les pires gaffes commises 
par les postulants pour un emploi rapporté par un cabinet de recrutement 
: 

- Monsieur X a dit qu'il était tellement qualifié que s'il n'était pas 
embauché, ce serait la preuve que le management de l'entreprise est 
incompétent.

- S'est couché à plat ventre sur le sol pour remplir le questionnaire 
personnel.

- A amené son Pitbull avec lui pour l'entretien.

- Mâchait du chewing-gum constamment et tentait même de faire des 
bulles.

- N'a pas arrêté de rire bêtement pendant l'entretien.

- Portait un casque de baladeur sur les oreilles et m'a certifié 
qu'elle 
pouvait très bien écouter la musique et mes questions en même temps.

- Le candidat, chauve, s'excusa et sorti brutalement l'air affolé.
Puis il revint pour terminer l'entretien quelques minutes plus 
tard, portant une moumoute.

- Le candidat tenta de défier le recruteur dans un combat au bras 
de fer.

- Demanda de voir le CV du recruteur pour être sûr que le chef du
personnel était compétent.

- La candidate annonça qu'elle n'avait pas déjeuné et commença à 
manger un hamburger et des frites dans le bureau du recruteur.

- Le candidat resta debout et marcha de long en large sans dire un mot 
pendant plusieurs minutes

- Le candidat portait un jogging alors qu'il passait un entretien 
pour un
poste de vice-président financier.

- Jura que, s'il était sélectionné pour le poste, il se ferait tatouer
le logo de l'entreprise sur l'avant-bras en gage de sa loyauté.

- Demanda à interrompre l'entretien, le temps qu'il appelle son psychanalyste 
pour lui demander ce qu'il devait répondre à certaines questions 
personnelles.

- A prétendu ne pas vouloir se lever se son siège à la fin de 
l'entretien, sauf si je lui disais qu'il avait le poste.  J'ai dû 
appeler la police.

- Lorsque je lui ai demandé quels étaient ses hobbies, il s'est levé 
et a commencé à faire des claquettes dans le bureau.

- S'est baissé sur la moquette et l'a observée de près.  Il m'a ensuite 
dit "félicitations" car d'après lui, l'épaisseur de la moquette marquait 
la reconnaissance témoignée par la compagnie à mon égard.

- A sorti un Polaroïd et m'a pris en photo.  Il a dit qu'il collectionnait 
les photos de toutes les personnes qui lui faisaient passer un entretien.


- Le candidat m'a dit qu'il n'était pas intéressé car le poste était 
trop bien rémunéré.

- Pendant l'entretien, la sonnerie d'un réveil s'échappa de l'attaché-
case du candidat.  Il sortit ce réveil, il coupa la sonnerie et s'excusa 
de partir car il devait passer un autre entretien.

- La sonnerie du téléphone portable du candidat retentit.  L'appel 
était de sa femme.  Le candidat dit les phrases suivantes : " Quelle 
compagnie ? Quand est-ce que je commencerai ? Quel est le salaire 
? "
A ce moment, j'ai dit : " Je suppose que vous n'êtes plus intéressé 
par le fait de poursuivre cet entretien plus avant. " 
Il répondit tout de suite : " Si bien sûr, du moment que votre offre de 
salaire est supérieure. " 
Je ne l'ai pas retenu pour le poste, mais plus tard, j'ai su qu'il 
n'y avait pas d'autre offre d'emploi pour lui.  C'était simplement 
une ruse destinée à faire monter le salaire proposé. 

- La candidate entra dans le bureau en portant une seule chaussure.
Elle expliqua qu'elle avait perdu son autre chaussure dans le bus.


- Il retira sa chaussure droite ainsi que sa chaussette, sorti un pot 
contenant une poudre de sa poche, versa un peu de cette poudre sur 
son pied et dans sa chaussure.  Il expliqua ensuite en remettant 
sa chaussette puis sa chaussure, que ce traitement était à réaliser 
quatre fois par jour, et que c'était l'heure.

- Le candidat expliqua qu'il ne voulait pas du travail proposé, mais 
que 
l'ANPE avait besoin de preuves qu'il avait effectué des démarches de 
recherche d'emploi.

- Le candidat sifflotait pendant qu'on lui posait des questions.

- Il demanda qui était ce canon en montrant la photo de ma femme 
sur mon 
bureau.  Lorsque je lui dis qu'il s'agissait de mon épouse, il voulu 
savoir si elle était à la maison en ce moment et me demanda mon numéro 
de téléphone.  J'ai appelé la sécurité aussitôt. 

- Elle vomit sur mon bureau et tout de suite après me posa des questions 

sur le poste proposé, comme si rien ne s'était passé.

- Montrant une valise noire qu'il avait apportée dans mon bureau,
il me dit que s'il n'était pas sélectionné, cette bombe exploserait.
Incrédule, j'étais en train de me dire qu'on en voit vraiment de 
toutes les couleurs et je m'apprêtais à appeler la police tout en 
lui disant que le poste n'était pas pour lui.  Il alla alors jusqu'à 
la valise, tourna un interrupteur et se sauva en courant.  Personne 
n'a été blessé, mais j'ai besoin d'un nouveau bureau. 



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